Avec plus de 1,5 milliard de locuteurs toutes catégories confondues, l’anglais est sans doute la langue la plus répandue dans le monde. Elle est parlée sur tous les continents, ce qui fait d’elle le moyen de communication internationale par excellence. Cette envergure géographique fait de cette langue le moyen de communication privilégié dans le commerce, les organisations internationales, le tourisme et toutes autres activités économiques mettant en relation des acteurs de plusieurs nationalités. Eu égard à cette hégémonie, suivre une formation en anglais est devenu une nécessité pour tout professionnel désireux de bien se positionner dans le monde professionnel.

L’Anglais, langue de communication planétaire

Dominante en Amérique du Nord, la langue de Shakespeare est la langue officielle ou de fait de plusieurs pays européens dont le Royaume-Uni, sa terre d’origine. À ces pays dans lesquels l’anglais est souvent la langue maternelle s’ajoutent ceux dans lesquels cette langue est utilisée par beaucoup de personnes pour qui elle est une langue de l’administration, mais aussi de communication extra-professionnelle. Ainsi, on compte en Afrique, 25 pays dans lesquels elle a un statut officiel, bien loin du français. On compte autant de nations aux Caraïbes et en Océanie, dont l’Australie et la Nouvelle-Zélande où la majorité de la population est d’origine britannique.

Pour sa part, si l’Asie ne compte officiellement que cinq pays anglophones, le poids démographique des nations comme l’Inde et le Pakistan qui rassemblent plus d’un milliard d’habitants donne une idée de l’importance de cette langue de communication dans le monde. De plus, l’influence économique de plus en plus croissante de cette région contribue à renforcer le statut dominant de l’anglais dans les entreprises, même françaises, qui cherchent à s’étendre vers ces pays.

Hors de ces pays dont la plupart sont réunis au sein du Commonwealth, la langue anglaise est en train d’avancer inexorablement. Presque partout, elle a été introduite dans les systèmes éducatifs, ce qui fait d’elle la langue seconde la plus enseignée dans le monde. Et la conquête de la langue de Shakespeare se poursuit, certains pays francophones décidant subitement de l’adopter au détriment du Français.

Il faut reconnaître que dans un monde devenu désormais un village global, le besoin d’une langue d’une langue de communication compréhensible par tous les participants à cette communauté s’impose de manière évidente. Et pour cela, l’anglais a déjà pris une avance considérable.

L’Anglais dans le monde professionnel

Parlée un peu partout dans le monde, l’anglais est ainsi devenu une langue incontournable pour de nombreux professionnels. C’est le cas dans le domaine des transports où le contrôle aérien se fait en anglais, langue dans laquelle sont également reprises les annonces à l’intérieur de l’aéroport. Même les systèmes de transport internes de plusieurs grandes villes de par le monde ont introduit l’usage de l’anglais pour faciliter le déplacement des touristes et des professionnels étrangers.

Il est donc évident que pour travailler dans ce secteur des transports, une formation en anglais professionnel s’impose. Cela est aussi réel pour l’ensemble de la vie économique actuelle. Pour les entreprises commerciales notamment, l’émergence d’une lingua franca est une opportunité d’expansion vers les marchés jadis inexplorés. Dans un monde économique de plus en plus compétitif, il est attendu des employés un niveau de compréhension de cette langue acceptable au regard de leur rôle au sein de l’entreprise.

Pour leur part, les organisations internationales et diplomatiques ont pris une longueur d’avance en ce qui concerne l’utilisation de l’anglais dans leur fonctionnement. À titre d’exemple, même les instances formant le système des Nations unies ont officiellement plusieurs langues de travail, l’anglais demeure la langue de communication la plus utilisée et obligatoire à l’embauche. À l’interne, suivre des programmes de formation continue en anglais est quasi obligatoire pour les travailleurs n’ayant pas une certaine maîtrise de cette langue.

Une formation en anglais professionnel pour tirer profit du tourisme

Pour l’entreprise, offrir des formations aux travailleurs se révèle très rentable. En effet, dans un monde de plus en plus uniformisé, parler anglais peut accroitre la compétitivité dans tous les secteurs de l’économie. Par exemple, une formation en anglais commercial ou une formation en anglais des affaires permettra à coup sûr l’expansion à l’international d’une société ou de conquérir une nouvelle clientèle faite de touristes et de toutes sortes de voyageurs. Après une légère baisse au cours des années précédentes, le nombre de touristes ayant choisi la France comme destination a été estimé à plus de 88 millions de personnes en 2017. Si certains de ces touristes viennent des pays francophones, d’autres manient la langue de Molière avec plus ou moins de dextérité. Mais, pour la grande majorité, ce n’est pas le cas pour le plus grand nombre de visiteurs. Ceux-ci viennent d’Angleterre, de l’Allemagne, de l’Amérique du Nord ou des pays asiatiques comme les monarchies du Golfe, la Chine et la Corée du Sud. Dans tous ces pays, l’Anglais est, soit la langue maternelle soit la langue seconde.

Dans le secteur du tourisme, il est évident qu’une bonne connaissance de l’anglais est la clé du succès et de la compétitivité. Cependant, des efforts restent à être fournis dans le sens de l’amélioration du niveau de langue des employés. Certes, avoir par exemple obtenu un bon score au test Bulats est parfois nécessaire pour y décrocher un emploi, mais une fois dans l’entreprise, il est nécessaire de suivre une formation continue en anglais, notamment en suivant des cours d'anglais professionnel, pour améliorer ses performances et se donner des chances de promotion. Le test Bulats (Business Language Testing Service) est une référence mondialement reconnue en matière de capacité des non-anglophones à se servir de l’anglais dans le monde des affaires.

De la formation en anglais en entreprise : un investissement rentable

Vu le nombre de touristes arrivant en France, investir dans la formation en anglais en entreprise est un investissement rentable pour toutes les sociétés offrant des services à la clientèle. En effet, pour accueillir ceux-ci, il est plus intéressant de leur parler dans leur langue, ou tout au moins dans celle qu’ils comprennent mieux. Et, bien évidemment, c’est l’anglais. D’ailleurs, il y en a qui ne comprennent pas du tout le français et qui, par conséquent, se sentiraient à l’aise que l’on se préoccupe de leurs besoins par le biais d’un moyen de communication qui leur est accessible.

Pour tirer profit de cet afflux d’étrangers, certaines sociétés organisent des formations en anglais en entreprise au profit de leurs employés, surtout ceux qui sont en contact avec la clientèle. Au nombre de ceux-ci, les serveurs pour les restaurants, les chauffeurs, les vendeurs.

Mais au-delà du tourisme, pour les entreprises françaises de façon générale, on note l’utilisation croissante de la langue de Shakespeare, malgré la loi Toubon qui, en 1994, recommande l’usage exclusif du français dans la plupart des documents et transactions nationales. Cette évolution s’explique en partie par les accords de libre-échange qui ouvrent les marchés internationaux à toute entreprise désireuse de vendre ses services, biens ou placer sa main-d’œuvre à l’étranger. Plus qu’un simple phénomène de mode, la compréhension de l’anglais est devenue une exigence, une composante à intégrer par toute entreprise qui veut avoir du succès. Cette exigence concerne non seulement les grandes entreprises françaises ayant des succursales à l’étranger ou les filiales des multinationales en France, mais tout le secteur de l’activité économique.

Malgré cette situation, nombre de cadres et de préposés à des emplois moins prestigieux peine encore à mettre au niveau linguistique requis. Pour y remédier, certains négocient avec leurs employeurs des cours d’anglais intensif. Pour cela, le DIF formation anglais est un créneau que devraient utiliser tous les travailleurs désireux d’améliorer leurs compétences linguistiques. Le DIF, Droit individuel à la formation, est en effet un dispositif permettant aux employés de bénéficier d’heures de formation sans que celles-ci soient comptabilisées dans leurs heures de travail.

L’anglais et le secteur des Techniques de l’Internet

Le domaine des techniques de l’Internet est celui par excellence au sein duquel l’anglais domine de façon incontestable. Sans doute, cela est dû au rôle prépondérant qu’ont joué les Américains dans l’invention et le développement de cet outil de communication informatique ainsi que dans celui des techniques subséquentes. Comme signe de cette suprématie, les langages de l’Internet et de la programmation en général sont tous basés sur l’anglais. Même le champ sémantique servant à l’administration du réseau contient beaucoup d’anglicismes quand ce ne sont pas des domaines entiers qu’il est plus facile d’exprimer dans cette langue.

Les entreprises basées sur l’informatique et l’Internet sont actuellement parmi les plus dynamiques. D’après les statistiques, elles recrutent abondamment et la tendance n’est pas près de s’arrêter. Ainsi, dans le sous-secteur des logiciels et services, il y a eu environ 12.000 créations d’emplois en 2015. Mais, paradoxe, alors que les salaires et les autres avantages sont souvent attrayants, les candidatures ne se bousculent pas toujours. Les sociétés de développement de logiciels, de sécurité Internet, de conception de sites web, etc. sont parfois à la quête désespérée de compétences, parmi lesquelles un excellent niveau linguistique.

Il devient évident que, pour toute personne désirant profiter des nombreuses offres d’emploi dans ce secteur, des cours d’anglais intensifs peuvent être nécessaires pour combler des lacunes éventuelles. En effet, compte tenu du niveau de langue élevé pour certains postes, le moyen le plus sûr de décrocher un emploi est de trouver un organisme de formation en anglais et d’obtenir des documents attestant de votre niveau. Parmi ceux-ci, le test Bulats (Business Language Testing Service) et le test Toeic (Test of English for International communication). Ces deux textes donneront aux ressources humaines la garantie de votre capacité à bien vous exprimer en anglais dans un milieu professionnel.

L’anglais, passeport pour les emplois à l’international

Les organisations internationales ont souvent plus d’une langue de travail. C’est le cas de l’Organisation des Nations Unies qui en a six. Toutes, à l’exception des organisations de promotions linguistiques et culturelles spécifiques comme la Francophonie, incluent l’anglais comme première langue de travail. Mais, dans la pratique, on y remarque une hégémonie de l’anglais. À l’embauche, s’exprimer couramment dans cette langue est toujours une exigence alors qu’aucune importance particulière n’est souvent pas donnée aux autres langues de travail. Même à l’UNESCO dont le siège est à Paris, l’anglais est prépondérant. Lingua franca de fait, aussi dans cette langue que sont rédigés la plupart des documents de ces structures supranationales au détriment des autres langues de travail.

Les organisations non gouvernementales qui interviennent dans l’humanitaire à l’international obéissent elles aussi à la même règle. Sur les terrains de reconstruction ou de secours même dans les pays francophones, l’anglais prend automatiquement le pas sur le français et les autres langues lorsque des instances humanitaires de plusieurs pays sont appelées à coordonner leurs actions. Même à Paris, la préparation à certaines fonctions comme celles relevant de la diplomatie exige l’inclusion de l’anglais dans le cursus de l’élève. Ce qui n’est pas surprenant, les diplomates français étant appelés, de par leur métier, à représenter le pays à la fois dans les organisations internationales et à l’étranger.

Pour se donner la chance d’entrée dans les écoles préparant à ces métiers, obtenir un bon score au test de Toefl est un excellent passeport. Ce test d’origine américaine permet d’évaluer, sur une grille de 120 points possibles, le niveau de maîtrise de la langue par le candidat. Il est la norme acceptée par nombre d’universités des États-Unis. Bien souvent, ceux qui ambitionnent de se soumettre au test de Toefl suivent, au préalable, un cours d’anglais intensif pour se donner plus de chances d’obtenir un bon résultat.

Une bonne formation en anglais professionnel : gage de réussite

Il est donc évident que le fait de se former en anglais offre d’innombrables avantages dans le monde professionnel. À la limite, ne pas bien maîtriser cet outil de communication, c’est comme être, aujourd’hui, un analphabète. Il est heureux de constater que le système éducatif français fait de cette langue le deuxième idiome appris à l’école. Les produits de ce système sont donc sensés bien s’insérer dans l’univers anglophone à la fin du parcours scolaire.

Malheureusement, ce n’est pas du tout le cas. Dans le meilleur cas, beaucoup de Français, même bien instruits, sont inhibés lorsqu’il s’agit de s’exprimer en anglais. Pour l’immense majorité, ce sont des mots qui ne viennent simplement pas malgré des années d’anglais obligatoire à l’école.

Pour obtenir les meilleurs résultats, il est important de s’inscrire auprès d’un excellent organisme de formation en anglais. Loin des cours magistraux donnés dans les écoles universités, ce genre d’organisme utilise souvent des approches pédagogiques différentes, qui mettent l’accent sur les besoins réels de chaque apprenant et mettant en scène les situations réelles de la vie quotidienne tant dans la société que dans l’environnement professionnel. Évolutives, interactives et ludiques, ces formations sont généralement animées par des professeurs, sélectionnées pour leurs compétences pédagogiques ont généralement l’anglais pour langue maternelle, ce qui permet aux étudiants d’acquérir les bons réflexes en ce qui concerne la prononciation, l’accent et la compréhension de la langue cible. Ces centres de formation sont les mieux indiqués pour suivre un cours d’anglais pour adultes, qu’il s’agisse de cours d’anglais en groupe ou personnalisés.

Le financement de la formation en anglais est souvent à la charge du professionnel conscient des avantages qu’il en tirera. Mais il aussi possible d’utiliser divers mécanismes pour se faire financer. C’est le cas du Compte personnel de formation (CPF) qui donne l’opportunité à tout travailleur ou demandeur d’emploi de suivre une formation s’il le désire. Ce mécanisme, conçu en remplacement du DIF, permettra de se préparer à des certifications qui prouveront à l’employeur vos compétences.

À retenir !

Bien s’exprimer et écrire en anglais n’est plus une option dans le monde professionnel d’aujourd’hui. Les entreprises, qu’elles soient domestiques ou internationales, font de cette langue un moyen de communication qui leur permet d’être plus compétitives. Quant au monde diplomatique, il y a longtemps déjà que la langue de Shakespeare est devenue la norme dans les échanges tant internes que dans leurs relations avec le public.

Améliorer ses compétences est donc une exigence à laquelle tout travailleur doit satisfaire pour se donner plus de chances de progrès. Pour ce faire, les possibilités de formation en anglais existent, mais encore faut-il faire les bonnes options en s’engageant avec un organisme de formation en anglais d’une bonne réputation.